Il y a quelques semaines, l’équipe de la SADC m’approchait pour être l’un de ses chroniqueurs qui, chacun à leur manière, souligneront la qualité de vie et le dynamisme présents dans la région de Nicolet-Bécancour.
Ma vie professionnelle est intrinsèquement reliée à la promotion de notre région. Si je ne crois pas en la beauté de celle-ci, à la capacité d’attraction et au développement touristique, aussi bien plier bagage. Vous me permettrez d’utiliser cette tribune en tant que citoyen.
Alors, on part comment? On parle de quoi? Après avoir jonglé avec l’approche et le sujet de cette première chronique, j’en suis venu à la conclusion qu’il fallait parler de ce qui me fait «tripper», en somme : la communauté.
Si on prend la définition de ce mot, nous pourrons lire :
État, caractère de ce qui est commun à plusieurs personnes : Une communauté de biens, d'intérêts.
Identité dans la manière de penser de plusieurs personnes : Une communauté de vues.
Ensemble de personnes unies par des liens d'intérêts, des habitudes communes, des opinions ou des caractères communs : Communauté ethnique, linguistique.
Ensemble des citoyens d'un État, des habitants d'une ville ou d'un village.
Eh bien voilà! Pour moi, c’est ça l’esprit du mot. Au-delà d’habiter ensemble un territoire, nous le rendons vivant! Je vais prêcher pour ce que je connais, mais étant sur quelques comités (ma copine vous dira qu’il y en a plusieurs!), je peux confirmer que les gens aiment s’investir pour les autres. Oui, s’investir pour les autres, c’est donner du temps pour les loisirs de telle municipalité, c’est siéger sur un conseil d’administration, c’est consacrer du temps à un organisme qui, sans le bénévolat, serait probablement fermé…
Dans la région, de plus en plus la communauté se rapproche, fraternise, se tient…
Nous avons une région bien spéciale : en plein cœur du Québec, l’œil sur le fleuve, l’autre au sud, une main dans l’industrie et l’autre dans les services, le pied gauche dans la terre, le droit dans la ville. Quand on réalise ce qu’on est, il suffit ensuite de l’affirmer et c’est ce que je fais dans cette première chronique : j’affirme qu’on est une maudite belle communauté, soyons-en fiers et fières!